À propos


Photo: Cinéphile + Théophile
Cinéphile + Théophile est né du besoin de retrouver le bonheur d’écrire naturellement, avec authenticité, simplicité et, sûrement, une touche d’humour. (Vous pensiez peut-être que je me permettrais des petits jeux de mots douteux à la ‘’authentici-thé’’ et ‘’simplici-thé’’, hein? Non.)

Vous y trouverez des billets traitant principalement des deux univers qui me font frémir : le cinéma et le thé. Des critiques, des découvertes, des évènements, des nouvelles, des rencontres et peut-être, même, une recette ici et là…

Évidemment, puisque certains sujets s’en éloigneront immanquablement, ceux-ci seront abordés dans la section Hors Champ.

D’où vient cette passion pour le thé et le cinéma de l’Asie de l’Est?

Lasse des stéréotypes du cinéma américain et n’ayant pas particulièrement d’intérêt pour la culture locale, j’étais autrefois davantage tournée vers la musique. Déjà attirée par l’animation japonaise depuis quelques années, c’est l’arrivée d’un tout nouveau festival de cinéma en 1996 et la curiosité de voir en quoi consistait un film de Hong Kong (sous-titré en plus) qui changerait littéralement le cours de ma vie. Et ce festival, c’est Fantasia

Je n’aurai vu que cinq projections lors de cette fatidique première édition, mais le coup de foudre se confirmerait l’année suivante avec la multiplication par dix du nombre de projections. Vous avez bien lu: 50 films. Dorénavant LE rendez-vous estival incontournable, l’année 2016 marquera son 20e anniversaire. Bien que le festival ait rapidement ouvert ses horizons au cinéma international, il reste que dans mon cœur, ce sont ceux du Japon, de la Corée du Sud et de Hong Kong qui tiennent le haut du pavé.  

Le goût du thé

Mon expérience avec le thé pendant mon enfance se limitait aux sachets de marque débutant par ‘’s’’ et rimant avec ‘’-alada’’, remplis de poussières de thé noir, qu’il fallait noyer dans deux bonnes cuillérées de sucre et un gros nuage de lait pour qu’il devienne comestible. Le mauvais thé à l’anglaise, en somme. C’était ça ou les tisanes aux fruits artificiels qui goûtaient le parfum. Meh.

J’ai ensuite exploré les thés chinois en sachets (d’aussi mauvaise qualité en rétrospective) au cours de mes années universitaires, pour finalement découvrir le thé d’origine en feuilles. J’ai alors entrepris des recherches sur le Web, consulté tous les livres que je pouvais trouver et me suis mis à fréquenter des salons de thé, dont le regretté O-Cha-I et le toujours sublime Camellia Sinensis, qui préparaient et servaient le thé comme il se devait… Un monde merveilleusement délicieux s’était ouvert à moi. Depuis, le thé en feuilles de qualité est devenu plus facilement accessible en Amérique du Nord et jouit à présent d’un engouement qui ne se démord plus.

J’espère que vous aussi aurez envie d’aller à la rencontre de ces univers et d’y faire vos propres découvertes. J'ai fait et je continue de faire la rencontre d'un paquet de personnes fascinantes, ouvertes et enthousiastes, qui partagent les mêmes passions. 

Je vous souhaite la bienvenue sur mon blogue, je suis extrêmement heureuse de pouvoir discuter avec vous et surtout, merci de me lire! N'hésitez pas à laisser vos commentaires et poser des questions.

Annie

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Maira Gall